chanson l escargot s en allait a la foire
Celundi 4 juillet, les deux classes de MS ont participé aux 8 EPS. Les jeux étaient encadrés par les CE2 CORNELL. Les élèves de maternelle ont du courir, lancer et sauter.
Unescargot s’en allait à la foire. Pour acheter une paire de souliers. Quand il arriva, il faisait déjà nuit noire. Il s’en retourna – nu pieds. Un escargot s’en allait à l’école. Car il voulait apprendre à chanter. Quand il arriva, ne vit que des herbes folles. C’était les
Cest à Collonges-la-Rouge, pour la petite histoire, qu’est née l’idée de créer en 1982 l'association chargée de classifier les villages les plus beaux de France. Une promenade dans ce petit bourg de moins de 500 habitants entièrement construit en grès rouge prend tout de suite des allures de visite de musée à ciel ouvert.
25chansons et comptines d'animaux, interprétées par des enfants et réunies dans un CD, à lire ou à écouter. Dans chaque chanson et chaque comptine, Frais de port à 0,01€ dès 24,99€ d'achats
Comptinesde la semaine. Saute petit kangourou. Watch on. La famille Tortue. Watch on. Coccinelle demoiselle, bête à bon dieu - Comptine à gestes pour enfants et bébés (avec les paroles) Watch on. Une petite coccinelle Agnes Chaumié Enfance et Musique. Watch on.
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Comptine pour enfants Nouvelles comptines enfants Rechercher une comptine Comptines populaires Berceuses pour enfants Chansons pour enfants Chants de noël Comptines animaux Comptines fêtes Comptines de maternelle Comptines pour bébé Comptines jeu de doigts Comptines à nombres Comptines à chanter Comptines en anglais Comptines en allemand Comptines en italien Comptines en espagnol Comptines de noël Fables de La Fontaine Fables Chansons Disney Contes enfants Histoires enfants Chansons série télé Coloriage enfants Paroles chansons enfants Jeux loisirs enfants Partenaires comptines animaux 252 1 souris verte A la colonie A la ferme Abracadabra Ah Tu sortiras biquette Allongeons la jambe As tu vu la vache Au fond du couloir Autour de la crèche Avec ses quatre dromadaires Bestiaire du coquillage Bisous bisous gentil bisounours Bonsoir bonsoir les loups Brousse brousse C'est demain jeudi C'est l'été trois petits moustiques C'est le criquet C'était un cheval Chat Chat chat Moustacha Chez le vieux fermier Mac Donald Coccinelle Coccinelle demoiselle Cochon faisait la soupe Coco le perroquet Cocorico Coin coin coin Combien faut-il Comptine de la poule Comptine des six continents Dans la ferme à Mathurin Dans la forêt lointaine Dans la forêt un ouistiti Dans la ville de Besançon Dans ma chambre Dans mon étable Deux petits oiseaux Do ré mi la perdrix Dorothée l'araignée Dors ma colombe Elle a un oeil brun En passant par hasard Entre le boeuf et l'âne gris Escargot Margot Et dis moi donc bergère Grosse dame hippopotame Hippo Hippo Il est midi Il était un castor Il était une chèvre Il était une fois un chat angora Il fait beau dehors J'ai des poules à vendre J'ai trouvé dans mes cheveux J'ai trouvé dans mes cheveux J'ai un oiseau dans mon panier J'ai vu un dinosaure Jamais on n'a vu Je m'en vais chasser le lion L'âne L'araignée Gipsy L'arche de Noé L'éléphant et la brosse à dents L'éléphant se douche L'hippopotame L'ours La baleine bleue La belle cigogne La chanson de l'araignée La chanson des couleurs La complainte de l'hippocampe La devinette La famille Hurluberlu La fête des animaux La gamme La grenouille et le gros boeuf La jeune grenouille La jument de Michao La linotte La maman des poissons La marmotte La mouche La petite araignée La petite chatte à ma tante La petite hirondelle La poule La puce La sauterelle La vache Le bal des crapauds Le bon petit castor Le canard Le capitaine Jonathan Le castor Cric Crac Le chameau Le chat Le chat l'autruche et la vache Le clown Coquelicot Le coquillage Le coquillage magique Le coucou Le crapaud Fee-Fye Le dromadaire Le fermier dans son pré Le grand loup du bois Le grillon Dudule Le gros lézard Le hérisson Le hérisson et l'oursin Le hibou Le kangourou Le lapin qui a du chagrin Le lion et la gazelle Le loriot Le loup Le moustique Le petit chat blanc Le petit chien voyageur Le petit crapaud Le petit écureuil Le petit lapin Le petit lapon Le petit lézard Le petit Lucas Le petit minou Le petit nigaud Le petit poussin Le petit ver tout nu Le pingouin Le poisson d'avril Le rat de ville Le singe et l'éléphant Le tamanoir Le taureau de Bilbao Le ver de terre Les abeilles Les bosses Les castors Les corbeaux Les crapauds Les fourmis Les grenouilles Les hiboux Les oiseaux les plus gros Les p'tites grenouilles Les papillons Les papillons Les poissons de la mer Rouge Les poulets Les rats Les rencontres Les trois singes Loup y es-tu Ma femme adore les animaux Ma petite vache Maman lapin Mange ta soupe Marchons deux à deux Marianne s'en va-t-au moulin Moi je suis un écureuil Mon amie l'abeille Mon bourricot Mon merle Mon oiseau se pose Mon père avait cinq cents moutons Mon petit lapin s'est sauvé Mon poisson rouge Monsieur Crocodile Monsieur l'ours Monsieur Pélican Moustaches moustachus Nico le crocodile Nounours à croquer Nous sommes 2 petits lapins Oh l'escargot Oh Les gourmands Où sont passés mes poussins Ouvre la porte Patati la souris Paysage d'Afrique Perle grise doigts de fée Petit chapeau de castor Petit escargot gris Petit oiseau d'or et d'argent Petit papillon Petit poisson qui tourne en rond Petits nids Petrouchka Pimpanicaille Pique pique la bourrique Pomme pomme Pour faire le portrait d'un oiseau Quand j'étais petite fille Que faites-vous petit coucou Qui a tiré la queue du chien Qui est sur le toit Qui se cache Rantanplanplanplan Rock and roll des gallinacés Ron ron ron Sauterelle Savez-vous ce qu'est un Castor Sept oies Sur la route de Dijon Sur la route de la foire Sur le chameau Sur le chemin Sur son petit cheval gris Tas de riz tas de rats Toc toc qui est là Tous les animaux du monde Tout au fond de la mer trois p'tits chats Trois petits castors Trois petits chats Trois petits minous Trois petits moustiques Trop curieux Trotte trotte mon mulet Trotte trotte renne rose Un canard a dit à sa cane Un castor à la colonie Un castor heureux Un chat gris Un crabe Un écureuil Un éléphant blanc Un éléphant qui se balançait Un éléphant qui se promenait Un et un Un hareng saur Un joli loir Un matin l'escargot gris Un moineau sur ton dos Un petit bonhomme pas plus gros qu'un rat Un petit chat blanc Un petit chat gris Un petit cochon Un pou une puce Un singe à l'école Une araignée sur le plancher Une fourmi de dix-huit mètres Une fourmi rouge Une grenouille dans un bocal Une mite ou deux Une petite coccinelle Une petite souris Une souris qui Villanella Vole joli papillon Y a un rat Y a une pie
Laon Sylvie Tyrpa a composé un 6e opus de chansons. Celles-ci sont inspirées du cinéma des années 70. La Laonnoise espère être de nouveau sur scène, bientôt. Article réservé aux abonnés Article réservé aux abonnés Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous à partir de 1,59€/semaine. Sans engagement de durée. En profiter Vous êtes déjà abonné ou inscrit ? Connectez-vous
Vous avez tous lu le magnifique texte de Sandrine de Paris, intitulé La fessée dont je rêve’, et sous-titré Fessée publique pour employée insolente’ ? Si non lisez-le sans tarder !!! Avec l’accord de Sandrine nous avons collaboré à la création de ce nouveau récit, je vous propose enfin une suite à son fantastique récit de fessée en entreprise. Nous espérons que ca vous plaira ! Voici donc ce nouveau récit dans le texte, c’est toujours Sandrine qui parle à la première personne du singulier Je me décide enfin a terminer l’histoire de ma collègue fessée devant tous les collègues. Parce que, oui, il a eu une suite. Oh j’ai bien hésité autant j’avais finalement trouvé le premier épisode vraiment jouissif, autant vous verrez que cette suite a été plutôt douloureuse et traumatisante pour moi… Durant les quelques jours qui ont suivi la spectaculaire fessée, on ne parlait que ça. Ma collègue n’osait pas croiser le regard de ses collègues, tant elle craignait d’y lire plus de méchant amusement que de compassion. Mais au bout d’une semaine ça s’est calmé. Par contre je ne m’étais pas rendu compte à quel point elle s’était mise a me détester. Et pour corser la situation, elle devenue la maîtresse de notre boss, ce que je n’ai su que bien plus tard. Donc tout était rentré dans l’ordre, si je puis dire. Ma collègue faisait même semblant d’être très amie avec moi, ce qui me plaisait moyen, mais j’arrivais a passer sur mon ressentiment vis-a-vis d’elle. Tout allait donc bien jusqu’a ce jour où tout a basculé pour moi, bien que je ne m’en sois rendu compte que quelques temps après que le mal fût fait. Bref, l’élément déclencheur a été une erreur que j’ai commise. Je dois avouer que, sur le moment, je ne me suis pas rendu compte de la gravité de la situation dans laquelle cette erreur allait plonger l’entreprise. Ou plutôt, dans ma grande naïveté, j’ai cru que je pouvais en parler ouvertement à celle que je croyais être mon amie, pour quérir son aide bienveillante. Elle m’a rassuré en me faisant croire que ce n’était pas grave et qu’elle allait s’en occuper. En fait elle n’en a rien fait, en sachant pertinemment ce qui allait arriver à cause mon erreur l’abandon d’un énorme contrat, quasiment vital pour l’entreprise… ce qui me fait vraiment mal, aujourd’hui, c’est de penser que si j’étais allé parler immédiatement au chef lui-même, le désastre aurait pu être évité ! En fait je ne me suis rendu compte de rien jusqu’à ce jour terrible où tout s’est enchaîné a une vitesse incroyable. Un beau matin, environ deux semaines après mon erreur fatale, mon amie est venue vers moi, l’air préoccupée, au début de la matinée, vers 9h Je lui ai demandé ce qui se passait. Elle m’a expliqué d’un air embarassé que mon erreur d’il y a deux semaines avait causé la perte d’un contrat vital pour l’entreprise. Elle a ajouté que le chef voulait me voir dans son bureau a 10h précises. Comme je me décomposais, elle a essayé de me rassurer en me disant qu’elle serait là pour essayer de m’aider. Evidemment, elle ne voulait rien rater de ma chute totale !… Donc à 10h je me retrouvais dans le fameux bureau du chef, celui avec les vitres à travers lesquelles tout le monde pouvait voir. Je n’en menais pas large, comme on dit. Je passerai sur les détails d’un dialogue qui s’est rapidement envenimé, non pas que je me sois emportée comme ma collègue un mois avant, mais le chef lui même criait de plus en plus. Il était vraiment fâché. Je regardais ma collègue d’un air désespéré. Mais elle semblait soudain prendre le parti de son chef !!! J’en suis restée estomaquée… Et puis le pire est arrivé. Le chef a parlé de me dénoncer au grand PDG de la boîte, ce qui signifiait mon renvoi immédiat. C’est alors que j’ai compris toute la perfidie de ma collègue. Elle m’a regardée puis elle a regardé le chef, et elle a suggéré d’une voix mielleuse qu’il existait peut-être une autre solution me donner la fessée devant tout le monde, comme il la lui avait donnée un mois plus tôt. Le sol s’est effondré sous mes pieds. Je me suis rendu compte que la porte était ouverte et que tout le monde avait pu entendre toute la discussion. Et, comble de l’ironie, j’avais justement choisi de mette, ce jour-là, un tailleur rose avec une jupe relativement courte et moulante, le tout assorti de louboutins à talons très hauts, pour exciter mes collègues masculins !!!… On aurait dit que ma collègue et le patron avaient préparé le coup, parce qu’ils m’ont porté le coup de grâce en annonçant que la fessée aurait lieu a 11h45 précises, juste avant la pause du déjeûner. Pendant une heure et demi j’ai eu le noeud au ventre à la pensée de ce qui allait se passer. Je voyais du coin de l’oeil tous les regards goguenards qui convergeaient vers moi en attendant le moment où ils verraient tout. Et le moment terrible est arrivé. Et à midi moins un quart exact, le boss est entré dans l’open space, suivi de ma collègue, dont l’oeil brillait. Lui portait un costume cravate brun sur chemise blanche et elle un pantalon noir relativement moulant, chemisier blanc, ou plutôt rose très pale. “Bien, cette fois c’est votre heure, Sandrine” a commencé le boss. “Comme nous en avons convenu, je vais vous fesser devant tous vos collègues !… Ecoutez-moi, vous tous, vous pouvez arrêter de travailler un petit quart d’heure. Mademoiselle Sandrine a commis une faute très grave qui a failli mettre l’entreprise en péril. J’espère que ce à quoi vous allez assister va vous donner à réfléchir à ne pas commettre de telles erreurs.” Par correction, il a ajouté “Si quelqu’un ne veut pas assister, il peut s’en aller.” … mais ils sont tous restés !!! Et donc maintenant je savais que, dans un instant, j’allais vivre l’horreur. Naïvement, j’espérais encore que tout ce que je cachais pudiquement sous ma jupe, et ma culotte de petite fille oui, parce que, en plus, j’avais mis une vraie culotte de petite fille !…, n’allait pas être exhibé honteusement … ou, si vous préférez, j’espérais de tout mon coeur que la fessée serait non-déculottée. Il ne pouvait pas oser, non il ne pouvait pas … Le boss vient vers moi, me fais me lever, attrape ma chaise de sa main libre l’autre me tenait solidement le bras et me traîne brusquement vers l’endroit vide, au milieu de l’open space, ou tout le monde me verra le mieux. Comme j’étais en talons hauts, je trébuchais maladroitement en trottinant après lui. Le boss a posé la chaise par terre. Puis il s’est tourné vers les collègues et m’a forcée à les regarder tous. J’avais la gorge sèche. Mon coeur battait à tout rompre, je sentais le rouge me monter terriblement au visage. Je tremblais de tous mes membres. Mes mains étaient moites. J’étais vraiment à un chouillas de pleurer. Il s’est assis et m’as attirée à lui. Il a pris le temps d’enlever sa veste et de la poser sur le dossier derrière lui. Puis il m’a attrapé et m’a basculé basculé sur ses genoux. Il a passé son bras par dessus mon dos et l’a enroulé jusqu’à ce que la main arrive sous le ventre, dangereusement près de mon intimité. Misère, il avait une force herculéenne, je ne pouvais plus bouger !!! J’ai essayé de serrer les dents mais je savais, au fond de moi, que ça ne servirait a rien. Il a commencé a me fesser sur la jupe. Aïe … ça faisait déjà mal !… Il claquait relativement lentement, en levant assez haut pour que la force soit déjà remarquable. Je n’ai pas pu m’empêcher de commencer a gémir. Je croyais que j’arriverais a supporter, mais c’était sans compter le fait que la jupe allait être rapidement retroussée. J’ai commencé à sentir le fameux petit courant d’air sur les cuisses et sur ce qui apparaissait déjà de mes fesses, à peine encore cachées par la culotte . Alors que, jusqu’à présent, tout s’était passé dans un silence assez glacial, j’ai soudain entendu ma collègue pouffer doucement de rire. Les rires se sont propagés rapidement, mais se sont aussi rapidement calmés. Du moins pour l’instant. Parce que le pire n’étais pas encore arrivé. Et cette fois je commençais à m’attendre au pire. Je n’ai d’ailleurs pas été déçue. Il a claqué soudain plus vite et plus fort … La morsure des claques devenait vraiment dure à supporter. J’entendais le bruit si caractéristique des claques en même temps que je sentais la morsure de ces claques, encore un tout petit peu amortie par ma petite culotte qui couvrait encore relativement bien mes fesses. A ce moment je pensais encore m’en tirer, comme ma collègue, à bon compte, sans déculottage. Comme j’étais naïve !… J’étais déjà en train de joliment danser sur les genoux de mon boss, tout en chantant le grand air de la Traviata, mais avec des parole simplifiées genre “Aïeaïeaïe”. Mais j’ai soudain senti la fessée s’arrêter et la main du chef attraper ma petite culotte. Il y a eu une rumeur dans l’open space. Une sorte de “Aaah” de satisfaction, comme si tout le monde n’attendait que ça. Je me suis alors entendu hurler alors même que je m’etais juré de ne pas réagir aussi bêtement que ma collègue un mois plus tôt “Oh non pas ça … nooooon, pas la culotte, pas la culoooooootte !!!!!” … Mais cette fois le boss a été sans pitié. Le cauchemar absolu est devenu réalité. Ce que je n’aurais jamais imaginé, même dans mes pires cauchemars, s’est produit le patron a baissé ma culotte !!!… Pas juste un peu, comme j’aurais encore pu l’espérer, mais complètement, jusqu’aux genoux. Comme je n’avais pas mis de collant, j’avais les fesses et les jambes complètement nues. Le spectacle devait être admirable, parce que je suis très jolie, mais quelle honte de l’offrir dans une telle position. Voyez-vous, j’étais tournée de telle sorte que mes fesses étaient offertes en spectacle de face, si je puis dire, aux spectateurs. Et ainsi ils ont eu non seulement une vue exceptionnelle sur mes fesses rondes, et déjà probablement bien rougies, mais aussi sur ce qui apparaissait en dessous, mon intimité, que je ne pouvais absolument plus cacher !!! Oui les collègues voyaient tout … et ils ne purent s’empêcher de pouffer de rire, spécialement quelques femmes, et notamment ma collègue, qui ne s’est plus gênée de rire ouvertement. Et je savais qu’ils voyaient, et, si je tournais un tout petit peu la tête, je voyais leur regard fixé sur mon intimité, qui était exhibée obscènement par le baissage de la culotte, et je les voyais pouffer de rire … une collègue s’est mis la main devant la bouche pour pouffer de rire en montrant mon sexe du doigt et en regardant une autre collègue … et le patron a repris la fessée, son bras toujours passé par dessus mon dos, et enroulé jusqu’à ce que sa main soit sous mon ventre, toujours aussi dangereusement près de mon intimité … et cette fois la fessée est devenue absolument magistrale … Le patron claquait bien du plat de la main sur les deux fesses à la fois, plutôt à la base des fesses. Il claquait de plus en plus vite et de plus en plus fort. Mes fesses s’écrasaient, rebondissaient, rougissaient … putain, ça brûlait horriblement !!! Le son des claques résonnait dans l’open space. Tout le monde devait l’entendre, même ailleurs dans l’entreprise. Au gré des claques, je me suis mise à me tortiller, à sautiller d’un pied sur l’autre, à lever et à abaisser ma tête comme un cheval en furie … et mon intimité était exhibée de manière très obscène … J’essayais désespérément d’interposer ma petite main tremblotante, mais le patron a fini par la saisir et la tenir repliée sous le ventre, avec son bras qui me maintenait en position !!!… Je me débattais et me tortillais, et je trépignais en perdant toute pudeur. Mon intimité était de plus en plus exhibée très obscènement … je le savais, je le sentais, mais j’étais tellement occupée à essayer d’échapper un tant soi peu à la morsure des claques, que je ne prenais même plus le temps d’essayer de la cacher !…. La culotte a d’ailleurs glissé petit à petit aux chevilles, puis elle est carrément tombée par terre, et je me suis retrouvée complètement nue du bas, libre de ruer des jambes dans tous les sens de manière de plus en plus grotesque. Et il y avait ce bruit de la fessée, si caractéristique ! Chaque claque résonnait à mon oreille, et je sentais la terrible brûlure de la claque, et j’entendais clairement le rire cristallin de ma collègue, ainsi que de quelques autres filles, à présent. … Je relevais la tête et la rabaissais, je ruais des jambes, je les écartais et les rapprochais frénétiquement, je me tournais sur le côté sans plus me préoccuper du spactacle époustouflant que j’offrais alors !… J’étais littéralement morte de honte, tout était exhibé de façon si honteuse, je ne maîtrisais plus rien !!… Combien de temps ais-je mis pour craquer et me mettre à pleurer comme une petite fille, à hoqueter, à finir par m’étrangler dans mes pleurs ? Une minute ? Deux minutes, pas plus … À un moment donné, pendant la fessée, j’ai réussis à m’échapper, je me suis retrouvée debout, légèrement penchée en avant, la culotte toujours aux cuisses, mais mes talons m’empêchaient de courir, je trébuche … le patron m’a rattrapée, m’a ramenée à la chaise, et m’a re-basculée sur ses genou pour encore plus de claques, encore plus fortes, encore plus longtemps, mais toujours bien du plat de la main sur les deux fesses à la fois !!!… Les gars se sont mis aussi rire grassement. Au bout, je pense, de trois minutes, trois petites minutes, qui m’ont paru une éternité, le boss a arrêté la fessée. Mais le cauchemar était loin d’être fini ! Il a commencé par me pousser au bas de ses genoux. Je suis tombée au sol en pleurant à chaudes larmes mais il s’est levé lui aussi et m’a forcée à me redresser aussitôt. Je me suis retrouvée debout, désespérément incapable d’arrêter le flot de sanglots qui agitaient tout mon corps. Mon visage devait être bouffi de larmes, les cheveux en désordre. Ma jupe était relevée, tellement moulante qu’elle ne retombait pas, et donc ma foufoune était à l’air, offerte cette fois en spectacle de manière incroyable. J’ai essayé de la cacher avec mes mains, mais le patron m’a flanqué une immense claque aux fesses qui m’a fait hurler et lâcher mon intimité pour me frotter les fesses. Les larmes ont encore redoublé si c’était possible. Il a hurlé “Main sur la tête !…Et maintenant vous vous excusez devant vos collègues pour ce que vous avez fait !!!” Alors là, je ne sais pas ce qui m’a pris. J’étais dans un état second. Je pense que je ne me suis même pas rendu compte de ce que je disais. J’ai crié “Salauds !!!!!!!”. Il y a eu un “Oooooh” de stupeur. Le patron m’a reprise par le bras, et forcé à le regarder “Aaaah Mademoiselle n’a encore pas compris la leçon ?… Et bien cette fois on va voir !!!…” Et cette fois il m’a juste courbée sous son bras. Il étais tellement fort qu’il me tenait complètement penchée en avant, avec l’impossibilité complète de me redresser, ni même de me dégager … La fessée a repris. Mais cette fois il m’a fessé avec une force et une rapidité incroyable. L’intensité des claques était telle que nous ne restions pas immobiles. Je sursautais à chaque claque, je me tortillais enfin, aussi bien que je le pouvais, tant j’étais tenue fermement sous son bras, et curieusement, nous tournions petit à petit comme une sorte de valse lente, rythmée par les claques qui résonnaient de manière assourdissante. Aussi le bruit de mes pleurs qui maintenant étaient interminables et déchirants. Ca n’en finissait plus. J’ai dû recevoir au moins 500 claques si ce n’est plus, beaucoup plus. Parfois j’étais de face à mes collègues et je les voyais, complètement hilares. Cette fois ils avaient aussi lâché les vannes du rire. Je les entendais “Haaaa ha ha ha ha !!!…” ” On lui voit tout !!!” “Oh ouiii c’est trop drôle !…” “On voit sa foufoune !!!!!…..” “Haaa ha ha ha ha ha !!!…..” “Tu vois bien ?… Viens par ici ma chérie …” ” Quelle fessée, ah mais quelle fessée mes amies !!!…” “Ouiiii Haaaa ha ha ha ha ha ha !!!…..” ” Oh les gars, j’ai jamais cru que je verrai ça un jour !!!…..” “Quelle honte !!!…” “Je vois tout je vois tout !!! Hiiiii !!!!!… Aaah la la c’est trop beau ” “Haaaa ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha !!!!!!!” Ma collègue pleurait littéralement de rire … Et puis enfin, enfin, il a arrêté la fessée et m’a fait me relever. En fait j’ai commencé par me mettre à sautiller frénétiquement en hurlant hystériquement et en me frottant les fesses. J’avais perdu toute pudeur. C’étais absolument ridicule. Puis je me suis effondrée, à genou puis dans la position escargot, en m’exhibant de façon de plus en plus obscène. Mais le patron m’a fait brusquement me relever. J’avais évidemment abandonné mes louboutins pendant la fessée… Il m’a remise debout, face aux collègues. “Mains sur la tête !!! Et maintenant, excusez-vous!!!!!” Je ne sais pas ce qui a bien pu être compris de ce que j’ai vaguement réussi à articuler, au milieu de mes sanglots. Mais ça a eu l’air de satisfaire le chef. Il m’a redonné deux énormes claques sur les fesses en m’ordonnant de me reculotter. J’ai dû ramasser ma culotte et la remonter devant tout le monde, pendant qu’il regardait l’assemblée avec un air triomphant, et que des applaudissements sans fins ont commencé. J’ai redescendu ma jupe tant bien que mal, j’ai attrapé mes louboutins, et, sans même prendre le temps de les remettre, je me suis enfuie hors de l’open space pour courir me réfugier aux WC, toujours sous les applaudissements et dans un dernier immense éclat de rire. Je n’ai pas osé aller au réfectoire manger avec les gens. Je me suis cachée tant bien que mal. Mais je voyais mes collègues rire, et j’entendais qu’il continuaient de se lancer des quolibets à mon égard. C’était terrible. À un moment je suis soudain retrouvée en face de mon voisin de travail, au contour d’un mur.. il m’a vu, puis a commencé à ricaner … et enfin il a voulu me dire quelque chose, mais je me suis retournée et suis partie en courant pour ne pas l’entendre. Hélas, à la fin de la pause de midi, il a bien fallu que je retourne à mon travail. Je suis entrée a l’extrême fin de la pause, alors que tout le monde était déjà assis à sa place. Je voyais tous les regards goguenards qui me dévisageaient. Je me suis assise en faisant une grimace. Ça brûlait encore terriblement !… Et je respirais encore difficilement, tant j’avais pleuré. J’en avais mal à la poitrine. Mon voisin s’est penché vers moi et m’a chuchoté “Magnifique spectacle, tu nous a offert là !…” Je me suis sentie rougir jusqu’a la racine des cheveux. J’avais beau regarder autour de moi, je ne voyais aucun regard de pitié ou de compassion. Que des regards malicieux et moqueurs. Mais le pire c’est quand ma collègue détestée est venue me trouver, une heure plus tard !… Je ne l’ai pas vue arriver. Tout a coup sa voix m’a fait sursauter. Elle m’a chuchoté à l’oreille “Eh bien, ma chérie, quelle fessée !!!… Moi, à côté, c’était du pipi de minet … et cul nu, en plus…. oh la honte…. comme ça j’ai pu voir tes fesses moi, hi hi hi … tu ne peux pas en dire autant … et j’ai pu voir que tu as un peu de cellulite… c’est bien fait pour toi, et si jamais un jour tu as besoin de te rafraîchir la mémoire, j’ai filmé ta raclée avec mon smartphone…” Puis soudain, sans crier gare, peut-être parce que, anéantie par tant de méchanceté, je ne réagissais pas comme elle l’aurait voulu, elle se met a parler beaucoup plus fort, pour que tout le monde entende “J’espère que ça t’auras appris ta lecon ?… Ah, on peut dire que tu nous a bien fait rire !!! Hiii hi hi hi !!! Pas vrai les autres ?” Je l’ai regardée d’un air méchant. Heureusement, personne n’a osé lui répondre … Elle ajoute, pour bien enfoncer le poignard dans mon coeur “Voilà ce qui arrive aux petites employées écervelées qui font mal leur travail !…” Je la regarde en essayant de la tuer du regard, et je me lève à moitié pour lui faire face. Elle me nargue “Tu en veux encore une ?” Je me préfère faire profil bas et me rassieds. D’ailleurs le boss apparaît et la rappelle sèchement à sa place. En fait, ça a été vraiment dur pour moi pendant environ une semaine. En général je devais juste affronter des regards encore rigolards, voire franchemenrt moqueurs. Parfois on me rappelait de manière pas très fine ce que je leur avais montré si honteusenent. Les collègues féminines étaient d’ailleurs souvent beaucoup plus méchantes et perverses que les hommes. Quoique certains collègues masculins ne se gênaient pas de lancer des blagues extrêmement vulgaire sur moi. Un dessin caricatural a même circulé quelques jours … Au bout de deux semaines, heureusement, ça s’est calmé. Mais je me posais de sérieuses questions sur mon avenir dans cette entreprise. Je ne me sentais plus l’envie de faire carrière dans cette boîte. Je me suis donc mise en recherche active d’un nouveau job. Mais sans succès. À chaque fois ma candidature n’était pas retenue. Et puis, est arrivé un jour où j’ai pu passer toutes les sélections et aller jusqu’en finale. Nous n’étions plus que 2 candidates. Lors du dernier entretien, qui était déterminant, j’ai été reçue par un homme et une femme. Or devinez quoi ? Pendant l’entretien, j’ai cru ressentir comme une sorte de raillerie dans toutes les questions qu’ils me posaient. Leurs questions étaient parfois même très ambiguës. Du style “Si vous faites une erreur, vous préférez une procédure classique d’enquête qui peut mal tourner pour vous, ou une manière plus expéditive, éventuellement désagréable dur le moment, mais en sachant que vous conserverez votre poste ?” Je suis tellement naïve que je n’ai même pas tout de suite compris !… Ils avaient, évidemment, été informés de ce qui m’était arrivé environ trois mois plus tôt… en fait j’ai même fini par avoir la preuve qu’ils avaient reçu la vidéo. Qu’est-ce qui m’a pris d’accepter le poste qu’ils m’ont offert a bras ouvert ?…Mais ça, c’est une nouvelle histoire, que je vous raconterai peut-être plus tard, si vous le désirez !…
Pour ce dernier Week-End de juillet chaud et ensoleillé a eu lieu la foire aux lumas à Vauchrétien Maine et Loire. 🐌☀️ Luma est le nom patoisant de l’escargot en Vendée. Après deux années d’interruption, cause Covid-19, l’histoire continue, avec la 61ème édition de la manifestation dont la réputation n’est plus à faire La foire aux lumas. Cette festivité locale connait un succès retentissant année après année depuis 1959, grâce aux 250 bénévoles du comité des fêtes. Les fameux maillots jaunes au service du nombreux public. Plus de 25 000 visiteurs ont participé au programme du Week-End. Plus de 10 000 douzaines d’escargots ont été dégustées pendant ces 2 jours ! Les escargots au beurre d’Anjou sont préparés sur place.🐌 Les vins d’Anjou des vignerons en Aubance accompagnent à merveille les assiettes d’escargots. Tout au long du Week-End, plusieurs animations sont également proposées fanfare, orchestre, spectacles, vide-greniers, foire exposition, fête foraine…. Un transformiste professionnel a proposé une soirée inoubliable avec de grandes stars de la chanson Dalida, Mylène Farmer, Clara Luciani… Pour plus d’informations, cliquez ci-après sur le site internet de la foire aux lumas Il est intéressant que ce Week-End festif mette en avant la consommation d’escargots beurrés. Il serait souhaitable que dans un futur plus ou moins proche les organisateurs proposent des escargots locaux, et mettent en avant l’héliciculture régionale. Les éleveurs sont nombreux à proximité et seraient très certainement disposés à fournir les escargots.
Catégories de chants A classer A Table fromage fruits et légumes la vaisselle Animaux Basse-cours chat de la ferme grenouille Insectes Oiseaux Poissons Avec gestes Berceuse Canons Chanson sur les colos Chansons à thème Chants traditionnels à base d'onomatopées ou d'origine inconnue folklore français Comptines 3-4 ans cowboy indien Famille Halloween Moyens de transport Prénoms Rondes Variété A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W Y Z Envie d’aimer L’ C’est tellement simple L’amour Tellement possible L’amour A qui l’entend Regarde autour A qui le veut vraiment C’est tellement rien D’y croire Mais tellement tout Pourtant Qu’il vaut la peine De le vouloir De le chercher Tout le temps Ce sera nous, dès demain Ce sera nous, le chemin Pour que l’amour Qu’on saura se […] Épi de blé L’ Je n’avais qu’un épi de blé bis En bon terrain je l’ai semé Refrain 2 fois Lon Fal Malira, dondaine la li ra Lon fal malira dondaine A pleines mains j’ai récolté Puis au moulin je l’ai porté La farine vendue au marché Un grand profit m’a rapporté Un bel habit j’ai commandé […] Epo et taï taï yé Epo et taï taï yé Epo et taï taï yé Epo et taï taï Epo et touki touki Epo et touki touki yé Epo et Escargot L’ Un escargot s’en allait à la foire, Pour acheter une paire de souliers. Quand il arriva, il faisait déjà nuit noire Il s’en remetta claque de la langue nu pieds. Un escargot s’en allait à l’école, Car il voulait apprendre à chanter. Quand il arriva, il vit que des herbes folles, C’était les vacances claque […] Escargot L’ Que fait un escargot Quand il se cache dans sa coquille Est-ce qu’il joue aux billes ? Est-ce qu’il joue aux quilles ? Escargot L’ Oh l’escargot quelle drôle de petite bête C’est rigolo ça a deux cornes sur la tête Le chat, grimpait, le long de la gouttière Le vent pfffiooouuu’, soufflait, balançait sa petite queue légère T’as vu j’ai vu bis Le p’tit trou de son derrière T’as vu j’ai vu bis Le p’tit trou de son … […] Escargot margot Tire tes cornes Tire tes cornes Escargot Margot Tire tes cornes comme il faut. Si tu les tire pas Je te jette, je te jette Si tu les tire pas Je te jette sur le toit. Et mes talons sont ronds Ref et mes talons sont ronds hardi capitaine et mes talons sont ronds hardi moussaillon! Mes souliers sont en papier et les boucles en acier! Ref. Les chaussettes sont mal faites..les souliers sont en papier et les boucles en acier! Ref. Les chaussettes sont mal faites, l’pantalon est un peu long…les souliers sont en […] Fa tou you Fa tou you, sin la la la you bis Fa tou fé fé fé fé Fa tou fé man si you Fa tou you sin la la la you Fabien Le petit fabien, s’en alla sur le chemin Pour cueillir quoi?? Des noix, des feuilles, et attraper des escargots. Fait dodo fait dodo paupiere clause. dors mon belle enfant. sur ton lit la nuit pose. son regard appaisant. Famille chichoa La la famille, la famille, la famille chichoa Pas de chichis dans la famille chichoa Pas de pois chiches on est plutôt anchois Si t’as pas le fric t’as pas le chic t’as pas le choix, bienvenue dans la famille chichoa Les fillesNous ce kon aime c la rigolade o moins tout se termine par d […] Gestion de vos préférences sur les cookiesNous utilisons des cookies pour le bon fonctionnement de ce cite. Pour vous proposer la meilleure expérience possible, nous utilisons des cookies pour mesurer l'audience du site, optimiser les fonctionnalités des réseaux sociaux et personnaliser les contenus et publicités correspondant à vos centres d'intérêts. En poursuivant votre navigation sur notre site, vous acceptez notre politique de confidentialité.
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